Sur le jardin noir drapé du ciel de la cité
Montecristo.
Les fenêtres rouges du soir enchassées
Bardeau.
Comme un décor de théatre polichinelle
Tréteau.
Sous le halo tournant de la tour Eiffel
Pinceau.
Dans le staccato des insomnies concentriques
Dorémido.
Qui giclent sur ton dos aux dorures tantriques
Picasso.
Résilles aux cils de noir crêpe des bas couture
Bandeau.
Larmes déconfites rouges sang des confitures
Mikado.
J'ai pleuré ma vie si belle ribambelle mièvre
Au fil de l'eau.
Aux commissaires commissures de tes lèvres
Cadeaux.
6 comments:
Que tes absences sont longues...
Tes retours, des coups de gongs.
Merci Jacques.
D'autant plus touché que le compliment vienne d'un poète.
Toujours aussi prenants tes textes! Ravie de les retrouver!
Merci Isabelle. J'adore aussi tes dessins et ton oeil perçant. Bises
Je me suis arrêtée sur ce poème...
J'espérais que tu étais toujours là, et te relire me rassure. Merci !
Passe une douce journée.
Merci pour ce passage.
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